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Les Petites Kanailles

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12 février 2015

liste d'activités de 18 mois à 3 ans chez l'enfant

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pour voir le lien cliquez dessus

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11 février 2015

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Affichettes

11 février 2015

L’univers magique des comptines

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Les comptines sont une façon ludique de faire aimer les mots, d’initier aux sonorités de la langue, d’éveiller la sensibilité musicale, de développer les repères dans l'espace

Les comptines sont des formulettes simples et souvent courtes, chantées ou dites. Ellessont à la croisée du langage verbal et du langage musical. Leurs textes jouent avec les mots et les rimes. Très rythmées, elles invitent au frappé des mains (« Sors,/ sors,/ es/ car/ got/ Sors/ la/ tête/ de/ ta/ mai/son »).

Elles aident l’enfant à accroître son vocabulaire et à structurer le corps et l’espace. Elles permettent aussi d’introduire des formes grammaticales simples, d’installer les premières notions de couleur, de taille, etc. Enfin, elles favorisent la communication avec votre enfant.

Dire et redire des comptines

Autour de 2 ans, votre enfant parle mieux. Il peut participer davantage aux comptines que vous lui récitez et il prend de plus en plus de plaisir à imiter vos gestes et vos paroles.

N’ayez pas peur de lui dire et redire les mêmes comptines, régulièrement. C’est à la faveur d’écoutes répétées qu’il pourra participer davantage.

Il manifeste une préférence pour telle comptine, telle formulette ? Faites-lui plaisir, mais surprenez-le aussi régulièrement par une nouvelle comptine pour développer sa curiosité.

Soyez attentif à la façon dont vous accentuez et rythmez les syllabes, ce sont elles qui donnent tout leur relief à vos paroles

Des mots et des gestes

  • Choisissez un endroit calme pour favoriser la qualité d’échange.
  • Placez-vous face à votre enfant  pour capter son attention et l’amener à vous imiter. Vous pouvez aussi  l’asseoir sur vos genoux, face à vous, et faire les gestes avec lui.
  • Exploitez le rythme et les paroles de certaines comptines qui invitent à se balancer d’avant en arrière (« Bateau, sur l’eau… ») ou de gauche à droite.
  • Faites participer tout le corps :  saluez, tournez la tête, faites des jeux de mains et de doigts. Par exemple, cachez le pouce de la main droite en frappant avec l’index  gauche : « Toc, toc, toc ! Monsieur Pouce. » Puis faites sortir votre pouce. Recommencez avec le pouce gauche.
  • Lorsqu’une comptine évoque les parties du corps,  montrez-les du doigt en prononçant les termes correspondants.
  • Laissez en suspens le dernier mot d’une phrase puis donnez le temps à votre enfant de le dire. S’il n’y  arrive pas, dites le mot en attirant son attention sur votre intonation et votre prononciation.
11 février 2015

Les premiers puzzles

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Un enfant peut se lancer dans les encastrements en bois dès 18 mois, puis, à 2-3 ans, dans de vrais petits puzzles. Une activité complète – concentration, observation, manipulation… – et valorisante !

Les compétences en jeu

Tous les jeux de comparaison, de logique, de classement développent la capacité de votre enfant à résoudre des problèmes. Parmi ces jeux, le puzzle est une activité « complète ». Elle développe la patience, la concentration, l’observation (telle pièce s’encastre dans telle autre, telle couleur ou tel motif se retrouve sur le plateau ou sur une autre pièce…) et la réflexion. Les puzzles nécessitent aussi de la précision dans les gestes pour attraper, tourner les pièces dans tous les sens et les encastrer les unes avec les autres.

 

Bien choisir, bien jouer

  • Autour de 18 mois, privilégiez les puzzles à encastrement en bois autour d’un thème : les voitures,  les animaux, la ferme…
  • À partir de 2-3 ans, vous pouvez lui proposer de vrais petits puzzles en carton épais avec un cadre. Six pièces suffisent au départ, puis augmentez leur nombre très progressivement.
  • Assemblez les premières formes du puzzle. Vous donnerez envie à votre enfant de le terminer tout seul.
  • Incitez-le à réagir en cachant sous le couvercle de la boîte de jeu une pièce du puzzle. « Tiens, il manque quelque chose…Où  s’est cachée la roue du bus ? ».
  • Limitez le nombre de parties pour éviter que votre enfant ne se lasse. Vous pouvez lui proposer d’aller faire dormir ses jeux sur l’étagère… avant de les retrouver le lendemain.
11 février 2015

Des petites mains expertes

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Dès l’âge de 15 mois, votre enfant joue avec ses doigts à attraper, cacher, enfiler, trier... Plus tard, il devient un véritable touche-à-tout et continue à explorer les objets et les matières avec des gestes plus précis.

Avant 18 mois : il découvre

En apprenant à marcher, votre enfant élargit son horizon de manière considérable : il peut découvrir son environnement par lui-même, attraper de nouveaux objets, prendre un livre et le feuilleter seul. Il comprend également qu’il peut « agir » sur les objets, comme l’adulte : il s’exerce à taper à l’aide d’outils, il appuie sur les touches du téléphone, les interrupteurs, tous les boutons à sa portée. Il attend que son geste produise une réaction.

Redoublez de vigilance et protégez les zones à risque : cache-prise sur les prises électriques, grilles de protection, produits dangereux à tenir hors de sa portée, etc.

Après 18 mois : il manipule efficacement

Votre enfant est devenu un véritable touche-à-tout ! Chaque objet est pour lui sujet à surprises : la douceur d’une fourrure, l’élasticité d’un ballon, la froideur du métal, la résonance du seau en plastique, la fragilité d’une fleur… Son plaisir à malaxer, transvaser, « patouiller » des matières fluides est infini ! Ses gestes sont cependant imprécis et souvent maladroits. Il faut l’aider à acquérir une réelle habileté, à affiner sa préhension du bout des doigts et la mobilité de ses poignets, sous peine de le voir s’énerver ou renoncer !

 

Développer la précision de ses gestes

  • Avant 18 mois, proposez-lui des jeux qui développent sa concentration et sa vision d’un espace en trois dimensions, par exemple des boîtes passe-formes, des séries gigognes, des objets à enfiler sur des tiges verticales, des formes à encastrer (3 ou 4 au maximum).
  • Réalisez d’abord toute la manipulation devant votre enfant : il saura qu’il existe une solution adaptée.
  • Prévoyez des séquences de jeu de courte durée (quelques minutes suffisent).
  • Après 18 mois, donnez-lui à manier des  objets plus petits (emboîter,assembler,visser démonter) mais assurez-vous qu’il ne risque pas de les avaler.
  • Certains jeux avec des fixations diverses (Velcro, gros boutons, pressions, lacets…) constituent de bons exercices de motricité tout en favorisant un début d’autonomie vestimentaire.
  • Les jeux d’empilement obligent  votre enfant à mesurer ses mouvements car il faut un geste précis pour garder un édifice stable.
  • Les tapis de jeux sur lesquels votre enfant déplace voitures et personnages affinent le guidage de la main par l’œil (nécessaire entre autres pour l’écriture).
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11 février 2015

Mettre des mots sur ce qu'il ressent

Un tout-petit ressent bien sûr toutes formes d'émotions : joie, colère, peur… Lui lire des histoires, mettre des mots sur ces sentiments, l'aide à comprendre ce qu'il éprouve, le rassure.

Autour de 20 mois, votre enfant progresse dans la compréhension des histoires. Il saisit que le récit écrit est fixé une fois pour toutes et il perçoit les étapes de son déroulement. Il s’attache aux images, même s’il ne perçoit pas toujours un enchaînement logique dans la succession des pages. La relation que votre enfant va établir avec les livres tient énormément au plaisir qui vous réunit lorsque vous lui lisez des histoires. Ce n’est pas une faible responsabilité !

Décrire les sentiments

Très tôt, il s’intéresse au vécu des petits personnages rencontrés dans les histoires qu’on lui lit. Il perçoit que, comme lui, ils sont attachés à certains êtres et à certains objets, qu’ils aiment leur papa et leur maman, qu’ils redoutent certaines situations, qu’ils détestent certaines choses…

Le vocabulaire de votre enfant va s’enrichir de mots qui expriment les sentiments de ces personnages et ceux qu’il éprouve lui-même : quand il est heureux, quand il a de la peine, quand il a peur, quand il est en colère… Faites le lien avec ce qu’il a déjà ressenti lui-même dans des circonstances similaires.

Dans la vie quotidienne aussi, exprimez ce que vous percevez de ses émotions et sentiments avec des mots précis : « Je vois que tu es très en colère ! », « Je comprends que tu sois content, que tu aies peur... » Vous lui permettrez ainsi de mieux prendre conscience de ce qu’il ressent et de développer sa sensibilité.

 

Aidez-le à exprimer ses sentiments

  • Pointez ce qui le conduit à éprouver tel ou tel sentiment dans la vie quotidienne : « Tu as peur parce qu’on va chez le docteur », « Tu es content de voir ton grand-père »…
  • Rassurez-le ou calmez-le avec des mots tendres ; réjouissez-vous avec lui de ce qui arrive.
  • Quand vous découvrez ensemble des histoires où il peut s’identifier au héros, intéressez-le aux illustrations (attitudes et expressions des personnages), insistez sur ce que ressentent les personnages, faites un parallèle avec la vie de votre enfant si le lieu et le moment de l’action s’y prêtent.
  • Lisez un texte ou racontez une histoire en mettant en valeur le lexique des sentiments.
  • À la fin d’une histoire, vous pouvez évoquer avec votre enfant une situation précise où il s’est comporté « comme le héros » et la façon dont elle s’est terminée pour lui..
11 février 2015

Les tout-petits et les images

Tout petit, votre enfant est déjà sensible aux couleurs, aux images, aux contrastes. En grandissant, il aime s’attarder sur les illustrations de ses livres et remarque même des détails qui vous échappent !

À peine âgé de quelques mois, l’enfant comprend qu’il existe des objets d’une part et la représentation de ces objets d’autre part. Ainsi autour de l’âge d’1 an, votre enfant pointe le doigt vers le ciel lorsque vous lui montrez un dessin d’oiseau ou d’avion. Il fait le rapprochement entre l’image et sa propre expérience de la réalité.

Quelles images ?

Les goûts de votre enfant sont très variés :  en couleur ou en noir et blanc, avec des teintes vives ou pastel, avec des dessins abstraits ou réalistes, simples ou compliquées, toutes sortes d’images l’attirent, tout semble lui plaire. L’imaginaire des petits sait remplir les blancs, ajouter de la couleur, animer les images... Auprès des tout-petits, le succès d’une image repose sur sa force, sa simplicité, son caractère insolite et son ambiance. Certains illustrateurs l’ont bien compris, ils excellent dans un graphisme minimaliste : il peut suffir d’un trait bleu sur la page pour qu’un enfant voie la mer ! 

Le texte et les images

Dans les histoires pour enfants, l’image vient éclairer le texte, ajouter au sens, à l’intrigue, à la présentation des personnages. Elle attire l’attention sur tel ou tel événement. Elle éveille l’imagination en offrant plus que le texte (par exemple des détails qui ne sont pas écrits). La couleur permet de donner du rythme au récit (même fond coloré pour donner l’impression que le récit s’étire, ou au contraire rupture de couleurs à chaque page pour accélérer le rythme). Elle est un langage pour exprimer des sentiments.

Reconnaître les couleurs

À la naissance, le tout-petit ne distingue que les contrastes. C’est l’âge où les livres et les jouets de couleurs vives et contrastées attirent son attention et développent sa capacité à distinguer les couleurs de manière fine. On considère généralement qu’à l’âge de 8 mois, la vision des couleurs est atteinte. Mais il faut attendre souvent l’âge de 3 ans pour que l’enfant commence véritablement à reconnaître et nommer le rouge, le bleu, le jaune, le vert. Puis autour de 5 ans, il parvient à distinguer et nommer des couleurs plus « subtiles », par exemple le rose, le violet, le gris et le marron.

11 février 2015

Tout premiers échanges autour du livre

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Lire un livre à son bébé, c'est partager ensemble une histoire, un récit, une petite aventure. C'est une invitation à jouer plutôt qu'à apprendre, une ouverture au monde sensible et au monde relationnel.

Dès sa venue au monde, le bébé progresse dans deux grands domaines en particulier : la motricité et le langage. Il découvre les possibilités de son corps, qui ne cessent de croître au fil des mois. C'est en manipulant qu'il construit et appréhende l'espace et se situe dans son environnement.

Le livre n'échappe pas à la règle : le bébé le découvre avec tous ses sens, avec ses mains, ses yeux mais aussi sa bouche ! Et c'est bien avec tout son corps que le bébé reçoit, capte et absorbe les premiers récits qui lui sont racontés.

Grâce à ses extraordinaires talents d'observation, le tout-petit se développe. Il écoute, regarde, cherche à faire de même par imitation, répète les sons, les vibrations… Onomatopées ou bruits des animaux fourmillent dans les livres pour bébés car ils offrent un magnifique bouquet sonore, composé de souffles, de gutturales et autres ondulations de la voix que le bébé se plaît à aller chercher à son tour au fond de sa bouche et de sa gorge.

La lecture à voix haute est une invitation à visiter une langue musicale : la mélodie des mots, la variation du timbre vocal, l'espace des silences donnent corps à la voix du lecteur. Tout ceci suscite l'intérêt du bébé. La musique du récit instaure très tôt un autre langage que celui du quotidien ainsi qu'un univers poétique ouvrant les portes de l'imaginaire. Le bébé grandit et s'humanise à travers ce langage.

Le rythme des phrases, les petites répétions qui scandent la lecture retiennent toute l'attention du bébé. L'exactitude de la lecture « à la lettre » lui offre le plaisir de pouvoir anticiper, d'attendre précisément le retour de ce qu'il connaît déjà. Quelle jubilation ! C'est aussi une introduction à la notion du temps, à la mémorisation. Les lectures successives d'un même texte, l'observation régulière des mêmes images font émerger à chaque fois un peu de nouveauté et de complexité. Ainsi s'organise le monde pour le bébé.

À cet âge, lire est un moment de partage, un joli moment de tendresse et de jeu, de curiosité et d'émerveillement auquel s'associe tout le plaisir des gestes, des regards, des mimiques. Autant d'échanges chargés d'affects et d'émotions qui viennent nouer les premiers liens et engagent à se tourner vers la parole.

 

11 février 2015

L’éveil au monde sonore

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Les premières  explorations sonores et musicales témoignent des progrès de votre enfant  dans ses capacités de communication, et dans sa réceptivité aux bruits  qu’il entend et à ceux qu’il produit.

Entre 12 et 24 mois : les premières explorations

Autour de 1 an, alors même qu’il ne parle pas encore, votre enfant s’intéresse à toutes sortes de musiques et de bruits : il est surpris par un bruit inhabituel, il apprécie une ambiance sonore ou musicale qui lui est familière, il est également capable de distinguer les sons propres à sa langue maternelle et il les emploie dans ses babillages. Peu à peu, vous allez reconnaître certains mots et constater que votre enfant utilise de plus en plus fréquemment les gestes (pointer du doigt) et l’intonation pour se faire comprendre.

Après 24 mois : la perception du monde sonore

À l’approche de ses 2 ans, votre enfant est capable de reconnaître et de produire des onomatopées associées au cri des animaux familiers (« coin-coin, meuh, miaou »…) et des bruits familiers (« dring » de la sonnette, « vroum » de la voiture…). Vous pouvez l’aider en désignant par leur vrai nom les animaux, les objets et les bruits entendus (l’aboiement du chien, le bruit d’un moteur, le tic-tac d’une montre) afin de lui permettre de les mémoriser et d’acquérir le vocabulaire approprié. Votre enfant apprend aussi peu à peu à se représenter les choses en dehors de son champ visuel et à les nommer si elles sont absentes

Sons et musiques : une source inépuisable de jeux !

  • Faites-lui écouter des sonorités variées : musique classique, musiques du monde, chansons enfantines, enregistrements d’oiseaux ou chants de baleine… Son attention vous étonnera !
  • La musique lui donne envie de danser : accompagnez-le, il éprouvera un immense plaisir.
  • Utilisez des objets familiers (ustensiles de cuisine, papiers froissés, jouets de bain…) pour produire des sons amusants et originaux, sans jamais perdre de vue la sécurité de votre enfant.
  • Profitez des moments câlins pour fredonner une berceuse ou une comptine. Elles préparent l’oreille aux  sonorités du langage.
  • Jouez à retrouver le cri des animaux (à partir d’un jeu du loto, d’images, de photos…) et à les mimer. Si vous en avez la possibilité, vous pouvez aller visiter une ferme.
  • Enregistrez la voix de votre enfant et faites-lui réécouter les sons qu’il vient de produire. Vous pourrez conserver certains enregistrements… pour plus tard !
11 février 2015

Ses premiers tris

Entre 18 et 24 mois, de la découverte sensorielle au développement de l’esprit logique, votre enfant va cheminer tranquillement

Dans un premier temps, l’enfant découvre les caractéristiques des objets qui l’entourent : c’est l’étape de la découverte sensorielle.

L’étape suivante consiste à mettre en relation, trier, puis classer, ranger, ordonner ces objets selon leurs propriétés. La construction de l’esprit logique est alors en marche… Elle prendra du temps. La connaissance sensorielle de votre enfant doit continuer à s’enrichir parallèlement à la pratique d’activités logiques.

Entre 18 et 24 mois, l'enfant devient capable de trier des objets selon une couleur, de différencier des formes simples, d’associer une forme et son empreinte ou d’encastrer deux formes. Multipliez les occasions d’effectuer des « appariements » : associer deux choses qui vont ensemble. Mais sachez rester modeste en lui faisant trier une couleur ou une forme parmi 3 ou 4 au maximum.

On apprend en jouant, mais on construit plus aisément un raisonnement rigoureux avec du matériel spécifique. Par exemple les activités de tri constituent une activité de découverte mathématique si le critère de tri peut être déterminé sans ambiguïté. Chercher un objet de la même forme, de la même couleur ou de la même taille que… est difficilement réalisable avec des objets usuels, aux caractéristiques trop variées. En revanche s’il compare des objets aux formes identiques mais de plusieurs couleurs (les mêmes couleurs étant là aussi strictement identiques entre elles), votre enfant peut intégrer sans ambiguïté le critère de tri ou de classement par couleur.

Quelques idées de matériels

  • Certains encastrements permettent de faire des appariements en associant deux formes qui se correspondent exactement. Ils permettent à votre enfant d’intégrer le critère de la forme (l’une est en plein, souvent décorée, l’autre est en creux). Choisissez des formes à encastrer avec bouton de préhension, plus faciles à manier.
  • D’autres encastrements proposent un tri selon le critère de la taille (petit, moyen, grand). Ces matériels sont particulièrement adaptés à l’âge de votre enfant. Ils lui permettent aussi de s’autoévaluer : « j’ai fait correspondre le bon objet avec la bonne taille. »
  • Les grosses perles, les abaques, les jetons et de manière générale les collections d’objets prévus pour faire des tris constituent d’excellents matériels. Mais ils demandent une surveillance, un guidage puis une vérification de votre part.
  • Les lotos, dominos et mémos déclinent les classements et associations d’images autour de différents     
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